Les examens du DCG 2025 approchent à grands pas, et tu te demandes sûrement quels sujets vont tomber à l’épreuve. Pas de panique 😉 : nous avons préparé pour toi un pronostic UE par UE (unités d’enseignement, c’est-à-dire chaque matière) afin de t’aider à orienter tes révisions intelligemment.

Cet article sérieux mais bienveillant passe en revue chaque matière du DCG, de l’UE1 à l’UE13, en pointant les thèmes probables, les incontournables à maîtriser et les éventuelles nouveautés à ne pas négliger.

Bien sûr, nul ne peut prédire avec certitude le contenu exact des sujets 2025. Cependant, en se basant sur les tendances des sessions précédentes et l’actualité des programmes, on peut dégager des tendances réalistes pour chaque épreuve.

L’objectif n’est pas de te faire tout miser sur un seul thème, mais de te donner confiance et de prioriser ce qui compte vraiment. Allez, c’est parti pour le tour d’horizon des pronostics par UE !

UE1 – Fondamentaux du droit : les bases toujours au rendez-vous

L’UE1 Fondamentaux du droit couvre les bases juridiques indispensables. Pour 2025, attends-toi à ce que l’épreuve mette l’accent sur des notions essentielles du droit que tu as vues dès le début de ta formation. Autrement dit, les classiques du droit devraient être, comme souvent, au rendez-vous.

• Thèmes probables : l’organisation judiciaire française (le fonctionnement des tribunaux et la hiérarchie des juridictions), la responsabilité civile et pénale (distinctions et conséquences), la notion de patrimoine et le statut du commerçant (qui est commerçant, quelles sont ses obligations et statuts). On peut également s’attendre à quelques questions autour de la propriété et de ses applications (propriété des biens, nuances entre propriété publique/privée, etc.).
• Classiques à réviser : la formation du contrat (conditions de validité, consentement, capacité, contenu du contrat), la preuve des droits (comment prouver un droit ou un fait en justice) ainsi que les principaux contrats d’entreprise (vente, bail, prêt, assurance…). Ce sont des notions qui tombent régulièrement, alors assure-toi de bien les maîtriser sur le bout des doigts.
• Nouveautés potentielles : pas de révolution juridique récente dans les fondamentaux, mais reste attentif aux évolutions législatives qui peuvent toucher le programme de base. Par exemple, des ajustements récents de procédure civile ou de nouvelles lois sur le numérique (comme la validité des documents électroniques, signatures numériques) pourraient faire l’objet d’une petite question. Rien de trop pointu normalement, mais montrer que tu as connaissance de l’actualité juridique peut être un plus.

Conseil coup de pouce : Ne te laisse pas impressionner par l’ampleur du programme de droit. En te concentrant sur la compréhension des mécanismes de base (plutôt que d’apprendre par cœur des listes), tu seras capable de t’adapter même si le sujet te surprend. Tu gères, courage 💪 !

UE2 – Droit des sociétés : les sociétés sous les projecteurs

En UE2 Droit des sociétés et des groupements d’affaires, on entre dans le droit des entreprises proprement dit. Pour 2025, le jury devrait mettre en avant des thématiques phares de la vie des sociétés : en clair, tout ce qui touche à la création, la gestion et le fonctionnement des sociétés commerciales. Là encore, on parie sur des sujets classiques avec éventuellement une touche d’actualité.

• Thèmes probables : les formes de sociétés les plus courantes (attends-toi à parler de SARL, de SA et de SAS, avec leurs caractéristiques principales), les pouvoirs et responsabilités du dirigeant (droits du gérant ou du PDG, limites de pouvoir, fautes de gestion), ainsi que les modes de financement des sociétés et les garanties associées (augmentation de capital, emprunts, titres de créance, sûretés comme le gage ou l’hypothèque). Sans oublier les infractions du droit des affaires (abus de biens sociaux, faux en écriture, etc.) qui sont un grand classique dans les sujets pour tester tes connaissances transversales.
• Classiques à réviser : le processus de constitution d’une société (étapes de création, apports, immatriculation), la vie du capital (parts sociales, actions, cessions, augmentation ou réduction de capital), la révocation des dirigeants et la transmission des titres. Il est également judicieux de bien maîtriser les éléments communs à toutes les formes de sociétés (qu’est-ce qu’une personne morale, quelles sont les responsabilités générales des dirigeants, quelles sont les obligations comptables et juridiques communes…). Ces bases te serviront quoi qu’il arrive.
• Nouveautés potentielles : le droit des sociétés évolue régulièrement, mais pas de bouleversement radical récent. Tu peux néanmoins te tenir au courant de nouvelles dispositions comme la notion récente de société à mission (entreprise avec un objectif social ou environnemental inscrit dans ses statuts) ou les dernières mises à jour sur le registre des bénéficiaires effectifs, par exemple. Ce ne sont pas des sujets centraux, mais les connaître montre que tu es à jour. De même, depuis la loi PACTE, les seuils de nomination d’un commissaire aux comptes ont changé : un cas pratique pourrait t’amener à vérifier si une société doit nommer un CAC en fonction de sa taille. Ce genre de détail peut faire la différence !

Conseil coup de pouce : Reste méthodique. Face à un cas pratique en droit des sociétés, adopte un plan bien structuré (qualifie la société, identifie le problème juridique, applique la règle, conclue). Cela rassurera le correcteur et toi par la même occasion 😉. Tu as bossé ces notions, fais-toi confiance !

UE3 – Droit social : le droit du travail en action

L’UE3 Droit social concerne le droit du travail et de la protection sociale. C’est une matière vivante, souvent perçue comme complexe en raison des nombreuses règles qui évoluent régulièrement. Pour 2025, on peut s’attendre à ce que le sujet touche aux grands aspects de la relation de travail et aux questions d’actualité sociale.

• Thèmes probables : la rupture du contrat de travail sous toutes ses formes (licenciement pour motif personnel ou économique, rupture conventionnelle, démission… avec la procédure et les conséquences pour le salarié et l’employeur), l’évolution du contrat de travail (modification des conditions de travail, mobilité, clauses du contrat), le temps de travail (durée légale, heures supplémentaires, aménagement du temps de travail), et la négociation collective (accords d’entreprise, conventions collectives, rôle des syndicats). Également très probable : des questions sur la formation et l’exécution du contrat de travail (les obligations de chaque partie durant la relation de travail) ainsi que la représentation du personnel (délégués du personnel, CSE – comité social et économique, syndicats dans l’entreprise).
• Classiques à réviser : le fonctionnement de la Sécurité sociale (prestations, cotisations, branches maladie, retraite, famille…), le contentieux du travail avec les prud’hommes (comment un litige se règle, les grands principes de procédure prud’homale), les pouvoirs de l’employeur face aux droits des salariés (discipline, règlement intérieur vs libertés individuelles, santé et sécurité au travail). N’oublie pas de revoir également les dispositifs de protection sociale comme l’assurance chômage, et les droits liés à des situations particulières (maternité, accidents du travail).
• Nouveautés potentielles : le droit du travail a connu quelques réformes récentes qu’il serait bon d’avoir en tête. Par exemple, la réforme des retraites de 2023 a modifié l’âge légal de départ et peut impacter certaines questions sur la retraite dans la Sécurité sociale. De même, la montée du télétravail ces dernières années a entraîné de nouvelles règles (accords de télétravail, droit à la déconnexion) : un sujet 2025 pourrait très bien évoquer ces modalités modernes d’organisation du travail. Autre point d’actualité : l’égalité professionnelle et la qualité de vie au travail (index égalité hommes-femmes, prévention du harcèlement). Ce sont des thèmes dans l’air du temps qui pourraient apparaître en filigrane d’une question.

Conseil coup de pouce : Cette UE peut sembler ardue car la législation sociale est dense 😅. Ne te décourage pas ! Appuie-toi sur des schémas ou tableaux récapitulatifs (par exemple sur les différents modes de rupture du contrat et leurs indemnités). Visualiser les choses t’aidera à mémoriser. Et dis-toi que comprendre le sens général des règles (protéger le salarié tout en encadrant l’employeur) peut t’aider à retrouver la réponse le jour J. Courage, tu vas dompter le droit social !

UE4 – Droit fiscal : TVA et impôts à l’honneur

L’UE4 Droit fiscal évalue tes connaissances en fiscalité, un domaine technique mais très concret. En 2025, il y a fort à parier que l’épreuve comportera, comme chaque année, des exercices autour de la TVA et de l’impôt sur le revenu, sans oublier l’impôt sur les sociétés. La clé en fiscalité est de maîtriser les calculs et les principes de base pour ne pas se perdre dans les détails.

• Thèmes probables : la TVA sous toutes ses coutures – notamment la TVA déductible et la TVA collectée, la territorialité de la TVA (savoir si une opération est taxable en France ou non) et l’exigibilité de la TVA (à quel moment la taxe est due). Également, une partie impôt sur le revenu (IR) est quasiment incontournable : en particulier les différentes catégories de revenus (traitements et salaires, BIC, BNC, revenus fonciers, revenus mobiliers) et comment on détermine le revenu imposable d’un contribuable. Le sujet pourra aussi inclure l’impôt sur les sociétés (IS), par exemple via des retraitements fiscaux à partir d’un résultat comptable.
• Classiques à réviser : les règles de déclaration et paiement de la TVA (périodicité, seuils, régularisations possibles notamment en fin d’année), la détermination du résultat fiscal d’une entreprise (retraitements extra-comptables : réintégrations et déductions pour passer du résultat comptable au résultat fiscal imposable), ainsi que les notions d’amortissements, dépréciations et provisions fiscalement déductibles ou réintégrables. N’oublie pas les plus-values et moins-values professionnelles (à court ou long terme) : leur régime d’imposition diffère et c’est un classique qu’on aime évaluer.
• Nouveautés potentielles : chaque année, la loi de finances apporte son lot de modifications. Pour 2025, assure-toi de connaître les dernières mises à jour des barèmes et taux (par exemple, le nouveau barème de l’impôt sur le revenu 2024 si actualisé, ou le maintien du taux d’IS à 25% qui est désormais la norme). Par ailleurs, un thème d’actualité en fiscalité d’entreprise, c’est la facturation électronique obligatoire qui commence à se généraliser en France : même si c’est davantage un sujet de comptabilité, le lien avec la TVA pourrait être évoqué (car l’e-invoicing vise à améliorer le recouvrement de la TVA). Enfin, garde en tête la dimension internationale : des questions simples sur l’échange automatique de renseignements ou la taxation des géants du numérique peuvent éventuellement tomber en culture générale fiscale.

Conseil coup de pouce : En fiscalité, l’entraînement est primordial. N’hésite pas à faire et refaire des exercices de calcul de TVA ou d’IR, pour que les mécanismes deviennent presque des réflexes. Le jour de l’exam, lis bien les documents fournis : souvent, le sujet de droit fiscal donne des pistes dans les annexes (ex : un extrait de code fiscal) qui peuvent te guider. Respire, tu as toutes les clés en main pour faire face aux chiffres et aux cases à remplir 🙂.

UE5 – Économie contemporaine : croissance et défis mondiaux

L’UE5 Économie contemporaine explore les mécanismes économiques actuels, à la fois au niveau national et international. Le programme est vaste, mais certaines grandes thématiques économiques reviennent régulièrement dans les sujets. En 2025, on peut tabler sur des questions liées aux enjeux de croissance, de mondialisation et de politiques économiques, car ce sont des sujets incontournables pour comprendre l’économie d’aujourd’hui.

• Thèmes probables : la croissance économique et ses moteurs (accumulation de capital, progrès technique, productivité…), les phénomènes de mondialisation et leurs effets (commerce international, globalisation financière, rôle des multinationales), le rôle de l’État dans l’économie (politiques budgétaires, rôle des banques centrales et politique monétaire, régulation des marchés). Attends-toi aussi à parler du rôle des banques et des marchés financiers dans le financement de l’économie. Enfin, des sujets comme le potentiel de croissance à long terme (comment accroître la croissance potentielle d’un pays – éducation, innovation, etc.) et les déséquilibres économiques (chômage, inflation, inégalités) peuvent très bien tomber car ils sont au cœur de l’actualité économique.
• Classiques à réviser : les grands principes du fonctionnement d’une économie de marché (loi de l’offre et de la demande, concurrence, rôle des prix), la création de richesse et sa répartition (PIB, valeur ajoutée, revenus des ménages, inégalités et redistribution via les prélèvements obligatoires), ainsi que les mécanismes du marché du travail (chômage, équilibre offre/demande de travail, salaire minimum, etc.). Revois aussi les théories économiques majeures étudiées en cours (classiques vs keynésiens, par exemple) pour les mobiliser si nécessaire dans une dissertation.
• Nouveautés potentielles : l’économie étant en perpétuelle évolution, reste attentif aux sujets d’actualité économique. Par exemple, la question de l’inflation a fait un grand retour depuis 2022 après des années de stabilité des prix : un sujet pourrait très bien aborder les causes et conséquences de la hausse des prix et les réponses des banques centrales. De même, les enjeux de transition écologique gagnent en importance : croissance verte, taxes carbone, nouvelles filières d’emploi liées au développement durable – ce sont des thèmes dont on parle de plus en plus et qui pourraient inspirer un sujet. Enfin, l’essor du numérique et des nouvelles technologies (économie des plateformes, intelligence artificielle, cryptomonnaies) est un autre champ émergent : même si le programme reste centré sur les bases, une illustration autour de ces nouveautés peut toujours apparaître.

Conseil coup de pouce : En éco, ne te contente pas d’apprendre par cœur : entraîne-toi à expliquer avec tes mots les phénomènes. Si tu es à l’aise pour vulgariser une notion compliquée (par exemple expliquer l’inflation à un ami), alors tu seras prêt à l’écrire clairement le jour J. Et n’hésite pas à t’appuyer sur l’actualité dans tes copies – montrer que tu sais faire le lien entre le cours et le monde réel, c’est très apprécié 😃.

UE6 – Finance d’entreprise : analyse et investissements sous la loupe

L’UE6 Finance d’entreprise porte sur l’analyse financière et la gestion de la trésorerie des entreprises, ainsi que sur les décisions d’investissement et de financement. En 2025, le sujet devrait te demander de jongler avec les ratios financiers, les tableaux de flux et d’évaluer la performance d’une société. C’est une matière concrète où les chiffres parlent, alors sors ta calculatrice et au boulot !

• Thèmes probables : l’analyse de l’activité et de la performance d’une entreprise à travers ses comptes (marges, ratios de rentabilité économique et financière comme ROE, ROI, etc.), l’analyse financière par les ratios (liquidité, solvabilité, endettement, rotation des stocks…), les tableaux de flux de trésorerie ou de financement (savoir lire et construire un tableau de flux pour expliquer les variations de trésorerie, ou l’ancien tableau de financement pour les ressources/emplois), et bien sûr les projets d’investissement (critères d’investissement comme la VAN – valeur actuelle nette, le TRI – taux de rendement interne, délai de retour sur investissement). Un exercice type pourrait être d’étudier un projet et décider s’il est rentable, ou de commenter la situation financière d’une entreprise.
• Classiques à réviser : la gestion du besoin en fonds de roulement (BFR) et de la trésorerie (comprendre le cycle d’exploitation, l’importance des délais de paiement, etc.), la structure financière de l’entreprise (fonds propres vs endettement, effet de levier), les marchés financiers de base (actions, obligations, comment une entreprise se finance sur les marchés). Assure-toi également de bien maîtriser les écritures de dividendes et les calculs d’intérêts d’emprunt, car même si c’est lié à la compta, cela peut être mobilisé dans un cas de financement.
• Nouveautés potentielles : en finance, l’actualité peut jouer un rôle : par exemple, la hausse des taux d’intérêt depuis 2022-2023 change la donne pour les entreprises qui empruntent (coût de la dette plus élevé, arbitrage emprunt vs augmentation de capital). Un cas pratique pourrait intégrer ce contexte pour tester ta compréhension. De même, on parle de plus en plus de finance durable (investissements socialement responsables, critères ESG) : ce n’est pas encore au cœur du programme, mais montrer que tu en as entendu parler peut être un plus dans une discussion ouverte. Enfin, pense à te familiariser avec les outils numériques courants en finance (tableurs type Excel, logiciels de gestion) car la digitalisation de la finance est un phénomène actuel, même si l’examen en lui-même restera centré sur des calculs classiques.

Conseil coup de pouce : La finance d’entreprise, ça se pratique. Pour être à l’aise, rien ne vaut l’entraînement sur des exercices de ratios ou de VAN. Quand tu obtiens un résultat, entraîne-toi à l’interpréter : c’est bien de calculer un ratio, mais savoir dire en quoi il est bon ou mauvais, c’est mieux ! Le jour J, garde la tête froide, procède étape par étape (tu verras que la difficulté est souvent plus dans la quantité de travail que dans les calculs eux-mêmes). Tu as toutes les compétences, il suffit de les appliquer. 🚀

UE7 – Management : stratégie et organisation au rendez-vous

L’UE7 Management aborde les notions de gestion des organisations, de stratégie d’entreprise et de comportement organisationnel. Pour la session 2025, on peut s’attendre à ce que le sujet te fasse réfléchir sur la stratégie des organisations et le rôle du management dans la performance. C’est une épreuve souvent théorique, mais il ne faut pas sous-estimer l’aspect concret des exemples à mobiliser.

• Thèmes probables : la stratégie d’entreprise (diagnostic interne/externe, analyse SWOT, choix stratégiques, avantage concurrentiel…), le management des organisations au quotidien (styles de management, motivation des équipes, gestion du changement), le diagnostic stratégique (étude de cas sur une entreprise à analyser : forces, faiblesses, opportunités, menaces), et bien sûr le rôle du manager dans tout ça (leadership, prise de décision, gestion des conflits…). Un cas pratique pourrait te demander d’endosser le rôle d’un consultant qui conseille une entreprise sur sa stratégie future ou sa réorganisation.
• Classiques à réviser : les différentes structures d’organisation (structure hiérarchique, matricielle, fonctionnelle, etc., avec leurs avantages/inconvénients), la notion de pouvoir dans l’entreprise (délégation, centralisation vs décentralisation, culture d’entreprise), et les fonctions de support dans l’organisation (RH, compta, logistique : comment elles soutiennent l’activité principale). Revois aussi les grandes théories du management vues en cours (Taylorisme, théorie X/Y de McGregor, pyramide de Maslow, etc.), car même si elles ne sont pas citées explicitement, elles forment le socle de compréhension du management moderne.
• Nouveautés potentielles : le management évolue avec son époque. Ainsi, on parle de plus en plus de management agile (adaptabilité, équipes projets flexibles), de télétravail et de management à distance depuis la pandémie, ou encore d’intelligence émotionnelle et de leadership bienveillant dans le pilotage des équipes. Ce ne sont pas forcément des chapitres formels du programme, mais un sujet actuel pourrait t’inviter à réfléchir à ces nouvelles approches managériales en les reliant aux concepts de base. Par exemple, comment la motivation des employés est impactée par le télétravail, ou comment la culture d’entreprise intègre les enjeux de responsabilité sociale (RSE).

Conseil coup de pouce : En management, illustre tes propos dès que tu le peux. Si tu parles de stratégie, fais référence à une entreprise connue et à ses choix stratégiques ; si tu expliques un style de management, imagine une situation concrète. Ça rendra ta copie vivante et ça prouvera que tu comprends de quoi tu parles. Et n’oublie pas : une mauvaise note en management ne fera pas de toi un mauvais manager, et inversement 😉. L’important, c’est ce que tu en retires pour ta propre évolution.

UE8 – Systèmes d’information de gestion : Excel, SQL et sécurité au programme

L’UE8 Systèmes d’information de gestion (SIG) mélange informatique et gestion. Le but est de vérifier que tu sais utiliser et comprendre les outils informatiques qui permettent de gérer l’information comptable et financière. En 2025, le sujet devrait tourner autour de quelques outils techniques clés (tableur, bases de données) et de la sécurité des systèmes, des thèmes très concrets du programme SIG.

• Thèmes probables : l’usage du tableur (Excel) pour automatiser des calculs ou analyser des données (attends-toi à des questions sur des formules de base, des tableaux croisés dynamiques ou la logique de construction d’un tableur efficace), le langage SQL et les bases de données (écrire ou comprendre des requêtes simples de type SELECT, JOIN… et la conception de tables), les MCD/MLD (modèles de données type Merise : savoir lire ou compléter un modèle entité-association, un schéma de base de données). Sans surprise, la sécurité du système d’information sera probablement à l’honneur : concepts de contrôle d’accès, de sauvegarde, de confidentialité des données, surtout avec l’actualité des cyberattaques.
• Classiques à réviser : les processus de gestion (savoir représenter un processus, par exemple le traitement d’une commande client, avec un diagramme, et identifier les tâches et acteurs), les algorithmes simples (faire un organigramme ou écrire un pseudo-code pour une tâche logique : tri, calcul de somme, etc.), et les notions autour des ERP (progiciels de gestion intégrée) qui centralisent l’information dans l’entreprise. Revois également le vocabulaire lié aux systèmes d’information (donnée, information, SI, PGI, etc.), histoire de bien comprendre les énoncés.
• Nouveautés potentielles : le numérique évolue vite, et même si le programme reste stable, un sujet innovant pourrait évoquer des thèmes comme la transformation digitale des entreprises, l’essor de la business intelligence ou du Big Data pour la gestion. Tu n’auras pas un exercice pour coder un logiciel d’IA rassure-toi, mais connaître l’existence de ces tendances peut t’aider à briller lors d’une question ouverte. De même, les dernières évolutions en matière de cybersécurité (réglementation RGPD, nouvelles formes de menaces) sont bonnes à connaître. Quoi qu’il en soit, n’oublie pas que la maîtrise d’Excel est pratiquement indispensable aujourd’hui : entraîne-toi sur les fonctionnalités de base, ce sera utile pour l’examen… et pour ton stage, et ta carrière 😉.

Conseil coup de pouce : Ne néglige pas la pratique ! Si tu as accès à un ordinateur, exerce-toi à faire des petits tableaux Excel et des requêtes SQL simples, ça te rendra bien plus à l’aise. Et pendant l’épreuve, lis bien les consignes : en SIG, on peut vite répondre à côté si on interprète mal une notation ou une question technique. Reste calme et logique, comme un ordinateur 🖥️ (mais avec ton cerveau bien sûr).

UE9 – Comptabilité : opérations courantes & clôture en vue

L’UE9 Comptabilité est le cœur du diplôme, la bonne vieille compta générale. En 2025, le sujet devrait naturellement couvrir les opérations courantes de l’entreprise ainsi que des travaux d’inventaire de fin d’exercice. Attends-toi à un mix d’écritures comptables classiques et de réflexions sur des principes comptables.

• Thèmes probables : les opérations d’achat et de vente courantes (enregistrements des factures, TVA collectée/déductible, réductions commerciales et financières…), les opérations d’investissement (acquisition d’immobilisations, cessions d’immobilisations avec calcul de plus-value ou moins-value, location longue durée type crédit-bail), et tout ce qui touche aux travaux d’inventaire : évaluations des stocks (méthodes FIFO/CLCMP ou CUMP, dépréciations de stock), calcul et comptabilisation des amortissements des immobilisations, et provisions (pour risques, pour créances douteuses, dépréciations d’actifs). Ces thèmes reviennent très souvent car ils forment la base de la clôture des comptes annuels.
• Classiques à réviser : les principes comptables (régularité, sincérité, image fidèle, continuité d’exploitation, etc. – toujours utiles pour justifier une écriture ou un traitement), la réglementation (qui élabore le Plan Comptable Général, comment sont présentés les états financiers), et bien sûr la mécanique débit/crédit que tu dois maîtriser sur le bout des doigts. Revois également les opérations de financement courantes (emprunts bancaires, augmentations de capital simples) et leur enregistrement, ainsi que les cessions d’éléments d’actif et de valeurs mobilières de placement. Ce sont des incontournables.
• Nouveautés potentielles : la compta évolue lentement, donc pas de révolution pour 2025. Cependant, reste conscient de la dématérialisation croissante des processus comptables : par exemple, l’automatisation des factures avec la facturation électronique dont on a parlé en fiscalité, l’utilisation de logiciels en ligne, etc. Même si on ne te demandera pas de décrire un logiciel, tu peux t’attendre à ce que le sujet mentionne un contexte d’entreprise moderne (par ex., « l’entreprise utilise un logiciel de compta qui… ») juste pour planter le décor. Par ailleurs, pense à la convergence vers les normes IFRS sur certaines notions (le programme DCG introduit quelques idées IFRS, comme la notion d’image fidèle ou la comptabilisation des contrats de location type IFRS 16). Ce n’est pas l’essentiel de l’épreuve, mais avoir entendu parler des normes internationales peut servir en discussion ou QCM.

Conseil coup de pouce : Pas de secret, pour briller en compta il faut pratiquer encore et encore. Fais des annales, entraîne-toi à passer d’une écriture d’achat à l’effet sur le bilan et le compte de résultat. Le jour J, garde ton sang-froid : si tu es bloqué sur une écriture, passe à la suite, reviens-y après coup. Parfois, l’information manquante se déduit d’une autre question. Et surtout, crois en toi : la compta, tu sais faire, c’est ton métier qui commence 🧮 !

UE10 – Compta approfondie : opérations complexes à maîtriser

L’UE10 Comptabilité approfondie pousse plus loin les concepts comptables, avec des opérations moins courantes et des notions plus pointues. Pour l’examen 2025, on peut s’attendre à des sujets techniques visant à vérifier ta compréhension des traitements comptables particuliers et ta capacité à raisonner sur des situations inédites. Rassure-toi, si tes bases de compta générale sont solides, le reste n’est qu’une extension logique !

• Thèmes probables : les opérations spécifiques du patrimoine de l’entreprise, comme le traitement des composants d’immobilisations (et des remplacements, sinistres…), le crédit-bail (comptabilisation chez le preneur et mention à l’annexe), ou d’autres événements comme les subventions, les contrats à long terme…; les passifs externes type emprunts obligataires (calcul des intérêts, amortissement obligataire, prime d’émission) et provisions pour risques et charges (distinction entre provision et dette, comptabilisation et reprise); la profession comptable elle-même peut être un thème (déontologie du comptable, rôle de l’expert-comptable et du commissaire aux comptes – ça fait partie du programme !); les principes généraux d’évaluation des actifs (coût historique, valeur actuelle, juste valeur en IFRS) et notamment l’évaluation des immobilisations à l’entrée (coût d’acquisition, frais accessoires, évaluation à la juste valeur si apport). Sans oublier l’affectation du résultat (dividendes, mise en réserve) et les variations de capital (augmentations de capital complexes, fusions ou scissions (abordées de façon basique)).
• Classiques à réviser : la valorisation des immobilisations incorporelles (fonds commercial, brevets – comment on les évalue, amortit ou déprécie), le suivi des immobilisations après acquisition avec les amortissements et dépréciations (et les indicateurs de perte de valeur éventuels), la normalisation comptable (rôle de l’ANC, convergence IFRS, pourquoi certaines règles existent), et les changements dans les méthodes comptables (retraitements lors d’un changement de méthode, événements postérieurs à la clôture – par ex, comment traiter une information qui arrive après la date de bilan). Ce bagage théorique te servira à justifier les traitements dans un cas pratique.
• Nouveautés potentielles : l’UE10 intègre petit à petit des notions inspirées des normes IFRS ou de l’actualité comptable. Par exemple, IFRS 16 sur les contrats de location (qui considère certains leases comme des actifs/passifs) a influencé le traitement du crédit-bail en France. Aussi, on parle de plus en plus du rapport extra-financier (RSE) et de son intégration aux comptes – ce n’est pas encore au programme technique, mais savoir que la compta ne se limite plus qu’aux chiffres peut montrer ton ouverture. Enfin, reste à l’affût de toute mise à jour du Plan Comptable Général : l’ANC publie parfois des règlements (comme celui de 2020 sur les concessions, ou d’autres en 2021-2022) qui peuvent être mentionnés dans l’épreuve pour vérifier que tu as actualisé tes connaissances. Rien de trop exotique, mais être à jour fait partie du boulot de comptable 😉.

Conseil coup de pouce : Devant une opération complexe, ne panique pas. Rappelle-toi qu’elle peut souvent se décomposer en opérations plus simples connues. Par exemple, si on te parle d’une fusion, ramène-la mentalement à « absorption d’un patrimoine » et traite chaque élément séparément. Et si vraiment tu sèches, explique ton raisonnement même s’il n’est pas abouti : tu peux gagner des points avec une analyse bien menée, même sans la réponse parfaite. Tu as travaillé dur, fais-toi confiance !

UE11 – Contrôle de gestion : coûts et performance au menu

L’UE11 Contrôle de gestion fait souvent un peu peur aux étudiants car elle mélange calculs, statistiques et analyse. Mais pas de panique : en 2025, si tu maîtrises tes formules de coûts et que tu sais commenter des écarts, tu t’en sortiras haut la main. Le sujet devrait te faire plancher sur le pilotage de la performance d’une organisation à travers l’analyse des coûts, des budgets et des indicateurs.

• Thèmes probables : les bases de calcul des coûts (coûts complets vs coûts partiels, calcul de coûts unitaires, imputation des charges indirectes, méthode des centres d’analyse), le seuil de rentabilité (point mort, marge de sécurité), l’analyse des écarts entre prévisionnel et réel (écarts sur coûts fixes et variables, écarts sur chiffre d’affaires et sur marges, analyse de la masse salariale…), et les tableaux de bord et indicateurs de performance (choisir des KPI pertinents, interpréter un tableau de bord équilibré). On peut aussi retrouver un peu de statistiques appliquées (lois de probabilité de base, calculs d’écarts-types, voire un intervalle de confiance) notamment si le sujet aborde la notion de risque ou de prévision. Un cas typique pourrait être d’examiner les résultats d’une entreprise, calculer quelques indicateurs et proposer des solutions pour améliorer la performance.
• Classiques à réviser : les méthodes de calcul de coûts spécifiques comme la méthode des coûts partiels (coût variable, coût direct) et la méthode des coûts ABC (Activity-Based Costing), le levier d’exploitation (mesure du risque d’exploitation lié à la structure coûts fixes/variables), le calcul et l’analyse de la masse salariale et de ses écarts (effet effectif, effet masse, effet niveau), et la démarche de coût cible (target costing) pour lancer un nouveau produit en maîtrisant son coût de revient. Revois aussi la construction d’un budget et l’intérêt du contrôle budgétaire, car même si le sujet de 2025 ne te fait pas établir tout un budget, il peut y avoir des questions de cours dessus.
• Nouveautés potentielles : le contrôle de gestion intègre de plus en plus les nouvelles technologies : utilisation massive d’Excel voire de logiciels spécialisés, visualisation des données (tableaux de bord dynamiques). On peut aussi penser aux indicateurs extra-financiers (par exemple des indicateurs de performance environnementale ou sociale en lien avec la RSE) qui deviennent une préoccupation pour les entreprises – le sujet pourrait intégrer un petit volet là-dessus, par exemple te demander de proposer un indicateur non financier pertinent dans un cas donné. Enfin, reste attentif à la manière dont on parle du rôle du contrôleur de gestion aujourd’hui : il est souvent vu comme un partenaire stratégique plutôt que comme un simple « policier des coûts ». Cela peut transparaître dans la formulation des questions.

Conseil coup de pouce : Entraîne-toi à être rigoureux dans tes calculs (pose bien tes formules, vérifie tes unités) mais garde du temps pour la rédaction : expliquer un écart ou proposer une mesure corrective, ça peut rapporter autant de points que le chiffre calculé. Si les maths te stressent, dis-toi que le contrôle de gestion, c’est surtout du bon sens économique appliqué aux chiffres. Et quand tu vois une suite de nombres, essaye d’en raconter l’histoire : pourquoi tel coût augmente, que traduit cette variance ? Tu verras, ça deviendra presque amusant de jouer au détective 🎯.

UE12 – Anglais des affaires : mondialisation & RSE au programme

L’UE12 Anglais des affaires est une épreuve un peu à part car elle évalue tes compétences en anglais appliqué au monde de l’entreprise. En 2025, tu peux t’attendre à retrouver des thématiques d’actualité économique dans les documents ou questions, l’idée étant de vérifier que tu comprends l’anglais dans un contexte professionnel. Mais rassure-toi, pas besoin d’être bilingue, une préparation sérieuse du vocabulaire suffira pour s’en sortir.

• Thèmes probables : parmi les sujets récurrents en anglais du DCG, on retrouve souvent la globalisation / mondialisation (parler des échanges internationaux, de l’économie globale, des effets de la mondialisation sur les entreprises), le business responsable et l’éthique (parler de RSE – responsabilité sociale des entreprises, de développement durable, de commerce équitable), les conditions de travail à l’étranger (comparaison des pratiques de travail, par exemple le télétravail international, la semaine de 4 jours, etc.), ou encore l’entrepreneuriat et l’innovation. Le programme d’anglais touche à des thèmes variés comme la finance, le marketing, le management interculturel… donc le sujet pourra piocher dans ces domaines pour un texte de compréhension ou un sujet d’expression.
• Classiques à réviser : le vocabulaire d’entreprise de base en anglais (tous les termes de gestion, de compta-finance, les intitulés de postes, la structure d’une société, etc.), les formulations idiomatiques professionnelles (rédiger un email pro, une note, savoir utiliser le ton poli ou la forme passive si nécessaire). Et bien sûr, la grammaire : révise tes temps (present perfect vs past simple, etc.), les tournures de phrase conditionnelles, les faux-amis courants. Souvent, l’épreuve écrite comporte un exercice de traduction ou de version : il faut être à l’aise pour passer de l’anglais au français sans contresens, donc entraîne-toi sur des articles économiques en anglais en essayant de les résumer.
• Nouveautés potentielles : l’anglais des affaires suit l’actualité internationale. Par exemple, un texte pourrait très bien parler du Brexit et de ses conséquences économiques, de la pandémie de COVID-19 et du télétravail, ou encore de l’essor de l’intelligence artificielle dans le monde du travail. Ces sujets « nouveaux » sont en réalité juste des contextes dans lesquels ton vocabulaire business sera testé. Donc pour te préparer, n’hésite pas à lire quelques articles récents en anglais sur des sujets économiques ou managériaux qui t’intéressent. Ainsi, tu enrichiras ton vocabulaire et tu seras moins surpris si le sujet 2025 y fait référence.

Conseil coup de pouce : Pour progresser en anglais, immerge-toi un peu dans la langue tous les jours jusqu’à l’exam : séries en VO, podcasts d’actualité économique (même 10 minutes), lecture d’articles simples. Ça boostera ta compréhension sans que ce soit pénible. Et le jour J, lis bien les questions (en français et en anglais) pour être sûr de ce qu’on attend de toi. Même si tu bloques sur un mot de vocabulaire, essaie de comprendre le sens global grâce au contexte. Keep calm and carry on! ✌️

UE13 – Communication professionnelle : brille à l’oral

L’UE13 Communication professionnelle est un peu différente des autres : c’est une épreuve orale où tu dois présenter un travail (souvent un rapport ou un mémoire que tu as rédigé) devant un jury. Pour 2025, le pronostic est moins une question de « sujets probables » (puisque c’est toi qui choisis ton sujet de rapport, généralement lié à ton stage ou à un projet professionnel) qu’une question de compétences à démontrer. L’objectif sera de montrer que tu sais communiquer de façon claire et professionnelle sur un thème en lien avec la comptabilité-gestion.

• Ce qui est attendu : une présentation structurée (introduction, développement, conclusion) de ton expérience ou d’un sujet technique, en montrant que tu as du recul critique. Le jury va évaluer ta capacité à faire le lien entre la théorie et la pratique : par exemple, si tu parles d’une mission réalisée en stage, ils apprécieront que tu expliques quelles notions de cours t’ont servi, ou inversement quelles difficultés pratiques t’ont surpris malgré les cours. On attend aussi de toi une aisance à l’oral : articulation, contact visuel, gestion du temps, supports visuels clairs si tu en utilises.
• Classiques à réviser : revois les techniques de communication vues en cours : la méthode pour structurer un message, les outils visuels efficaces (éviter les slides surchargées, etc.), et entraîne-toi à expliquer des termes techniques de façon pédagogique (imagine que le jury n’est pas expert absolu de ton sujet, même s’il connaît le domaine). Prépare-toi aux questions du jury : généralement, ils te demanderont d’approfondir un point de ta présentation ou de clarifier une partie un peu floue. Il faut donc bien connaître ton sujet et ton rapport sur le bout des doigts, et être prêt à justifier tes choix ou analyses.
• Nouveautés potentielles : depuis la réforme du DCG en 2020, l’épreuve de communication met encore plus l’accent sur les compétences. Attends-toi à ce qu’on te pose des questions transversales, par exemple en lien avec une autre UE : si ton rapport parle d’un système d’information que tu as implémenté, on peut te titiller sur des notions de SIG; si tu évoques un problème de droit, une question de cours de droit social ou fiscal peut tomber. Côté format, certaines sessions récentes ont encouragé l’utilisation de moyens numériques (comme un diaporama PowerPoint) pendant l’oral – assure-toi de maîtriser ces outils si tu prévois de t’en servir. Enfin, un conseil d’actualité : montre ton professionnalisme en toute circonstance (même en visioconférence si l’oral devait se tenir à distance pour une raison quelconque). La capacité à s’adapter à un format numérique, par exemple, est une compétence implicite qui peut être valorisée.

Conseil coup de pouce : L’oral, ça se travaille autant que l’écrit. N’hésite pas à t’entraîner en conditions réelles : fais ton exposé devant des amis ou ta famille, filme-toi pour repérer tes tics de langage, etc. Le stress sera probablement là le jour J, mais dis-toi que le jury n’est pas là pour te piéger, ils veulent te voir réussir. Sois confiant dans ce que tu dis – après tout, c’est ton sujet, tu le maîtrises mieux que quiconque. Mets en avant ce que cette expérience t’a apporté. C’est ton moment, vas-y et impressionne-les ! 🎉

Conclusion

Félicitations, tu as fait le tour des 13 UE du DCG avec nous ! Ce pronostic 2025 UE par UE t’a donné des pistes sur quoi concentrer tes efforts, tout en rappelant de ne pas négliger les bases.

PS : on a également réalisé les pronostics pour le DSCG 2025 !

Maintenant, à toi de jouer : établis ton plan de révision en équilibrant bien toutes les matières du DCG, et n’oublie pas de prendre soin de toi pour arriver en forme aux examens.

En suivant ces conseils et en travaillant régulièrement, tu maximiseras tes chances de cartonner le jour J. Le DCG est un marathon, pas un sprint : chaque jour de travail compte.

Bon courage pour tes révisions, donne le meilleur de toi-même, et dis-toi que quelle que soit l’issue, ce que tu apprends te servira pour la suite.

On croise les doigts pour toi 🤞, et on espère te voir réussir haut la main cette session 2025 du DCG. Tu peux le faire, fonce !

Fiches DCG – 2024