Chaque année, les candidats au DSCG se posent la même question : quels seront les sujets qui tomberont à l’examen ? Le DSCG n’est pas seulement un diplôme difficile : c’est un concours d’endurance intellectuelle où l’on attend de toi une véritable maîtrise conceptuelle, une capacité d’analyse avancée et une rédaction irréprochable. Autrement dit, impossible de “jouer au loto”, mais tout à fait possible de réviser intelligemment.

Ce pronostic DSCG 2026 s’appuie donc sur la logique des programmes, les cycles récurrents des précédentes sessions, et les compétences que les jurys cherchent systématiquement à évaluer.

L’objectif n’est pas de révéler un sujet secret, mais de t’aider à prioriser, à structurer ton travail et à concentrer ton énergie sur ce qui rapporte vraiment des points.

Tu vas y trouver les thèmes incontournables, les sujets les plus plausibles par UE, une méthode de révision efficace et des conseils stratégiques pour augmenter tes chances de réussite. Si tu veux aborder le DSCG avec une vision claire, structurée et réaliste, tu es exactement là où il faut.

Comment comprendre réellement un pronostic du DSCG 2026

Avant même d’entrer dans les pronostics par UE et comme pour les pronostics du DCG 2026, il faut comprendre une chose essentielle : le DSCG ne fonctionne pas comme un examen classique où l’on peut anticiper un chapitre précis. Ici, les jurys évaluent surtout ta capacité à mobiliser plusieurs notions, à les articuler avec cohérence et à défendre un raisonnement clair.

Un bon pronostic n’est donc pas une liste magique de chapitres “qui vont tomber”, mais une manière de hiérarchiser ton travail, d’identifier les blocs fondamentaux qui reviennent régulièrement et les thèmes qui, selon la logique des dernières années, ont une forte probabilité d’être mobilisés. Cette approche est d’autant plus importante que le DSCG tend à alterner entre :
– des sujets très techniques,
– des dossiers transversaux mêlant plusieurs disciplines,
– et des mises en situation où l’analyse prime sur la simple restitution du cours.

C’est cette logique — cyclique, structurée, cohérente — qui permet de dégager les tendances les plus sérieuses pour la session 2026. Et c’est aussi elle qui te permettra d’optimiser ton temps, d’éviter les impasses dangereuses et de te préparer comme un candidat stratégique, pas comme un candidat qui révise au hasard.

Si tu veux, je peux continuer directement avec la section suivante : “Ce qui marche réellement pour établir un pronostic fiable du DSCG”.

Ce qui marche réellement pour établir un pronostic fiable du DSCG

Le DSCG récompense toujours la même chose : la maîtrise des fondamentaux et la capacité à les appliquer dans des situations complexes. Lorsqu’on analyse les sujets des dernières sessions, une logique se dégage clairement. Les jurys alternent les grands chapitres, réactivent régulièrement les thèmes structurants du programme, et privilégient les dossiers transversaux qui testent plusieurs compétences en même temps. Autrement dit, un sujet peut sembler “nouveau” dans sa forme, mais il repose presque toujours sur des mécanismes très classiques.

Ce qui fonctionne vraiment, c’est d’identifier ces thèmes pivot qui servent de base à la majorité des dossiers : consolidation et IFRS en UE4, évaluation financière en UE2, restructurations en UE1, pilotage de la performance en UE3… Ce sont des blocs qui reviennent presque inévitablement sous une forme ou une autre, parce qu’ils reflètent la réalité professionnelle des métiers du chiffre. Travailler ces domaines, c’est garantir une partie de sa note.

Autre élément clé : le DSCG aime la transversalité. Un dossier peut mêler fiscalité, droit des sociétés et social (UE1), ou combiner stratégie, contrôle de gestion et performance globale (UE3). Plus ton raisonnement est capable de naviguer entre les notions, plus tu correspondras à l’attente du jury. C’est pour cela que les pronostics sérieux ne cherchent pas à isoler des chapitres, mais à comprendre comment les thèmes s’enchaînent et s’articulent.

Au contraire, ce qui ne marche pas, c’est de croire que « un chapitre non tombé = sujet certain ». Le DSCG n’obéit pas à cette logique mécanique. Il ne s’agit pas non plus de suivre les rumeurs ou les spéculations : les sujets sont renouvelés avec cohérence, mais jamais de manière prévisible au point de tout parier sur un thème. Le risque de l’impasse est bien trop grand.

Pour réviser efficacement, il faut adopter la règle simple qui s’applique parfaitement au DSCG : 60 % de fondamentaux maîtrisés, 40 % de thèmes probables approfondis. Cette répartition permet à la fois d’assurer un socle solide et de maximiser le rendement des efforts ciblés.

On ne prépare pas le DSCG en mémorisant, mais en comprenant, en argumentant, et en s’entraînant sur des cas similaires à ceux rencontrés en examen.

Les compétences incontournables du DSCG (toutes UE confondues)

Au-delà des programmes et des chapitres, le DSCG évalue surtout un ensemble de compétences transversales qui, d’une UE à l’autre, restent les mêmes. Les candidats qui réussissent ne sont pas forcément ceux qui connaissent tout leur cours par cœur, mais ceux qui savent mobiliser les bonnes notions au bon moment et les présenter avec une logique irréprochable.

La première compétence essentielle est la capacité de raisonnement. Que ce soit en droit, en finance, en consolidation ou en management, le jury cherche un chemin intellectuel cohérent. Il veut voir que tu identifies le problème, que tu sélectionnes la règle applicable, que tu l’appliques correctement et que tu en déduis une conclusion. La logique est plus valorisée que la mémoire brute.

Vient ensuite l’analyse de documents, un pilier du DSCG. Les dossiers proposent des annexes, des textes juridiques, des tableaux, des extraits IFRS, des éléments narratifs ou chiffrés. Le but est de tester ta capacité à extraire l’essentiel, à repérer les incohérences, à structurer ton analyse et à justifier ce que tu avances. Cette compétence est particulièrement centrale en UE1, UE3 et UE4.

La troisième compétence incontournable concerne la maîtrise technique, notamment pour les épreuves chiffrées ou normatives. En UE2 ou UE4 par exemple, on attend de toi non seulement un résultat correct, mais aussi une démarche justifiée, une argumentation claire et des calculs présentés proprement. Le DSCG ne pardonne pas les approximations : il valorise la rigueur.

La rédaction joue elle aussi un rôle décisif. Un dossier bien rédigé, structuré avec des titres, des sous-parties, des transitions, des conclusions nettes, peut te faire gagner plusieurs points. Le correcteur doit sentir que tu maîtrises ton propos et que tu sais organiser ta pensée. Cela vaut en droit, en management, en audit, et même parfois en finance.

Enfin, la gestion du temps est une compétence déterminante. Les dossiers sont souvent longs, denses et conçus pour mettre la pression. Si tu perds vingt minutes sur une question compliquée, tu risques de passer à côté d’autres points plus simples. Les candidats qui performent sont ceux qui avancent avec méthode, sans blocage, en laissant une trace écrite même quand ils ne sont pas sûrs de leur réponse.

Pronostics par UE du DSCG 2026

Pronostics UE1 — Gestion juridique, fiscale et sociale

L’UE1 est souvent perçue comme l’épreuve “montagne” du DSCG, car elle combine droit des sociétés avancé, fiscalité des groupes et droit social approfondi. Pourtant, les sujets suivent une logique claire : le jury choisit presque toujours un thème structurant de l’entreprise, puis l’enrichit avec des implications sociales ou fiscales.

Les incontournables restent les restructurations, qu’il s’agisse de fusion, scission, TUP ou apports partiels d’actifs. Ces opérations permettent au jury de tester ta capacité à analyser les conséquences juridiques, fiscales et sociales d’une transformation. Les sessions précédentes montrent une alternance régulière entre les différentes formes de restructuration, ce qui rend raisonnable l’hypothèse d’un retour sous une forme ou une autre en 2026.

La fiscalité des groupes, notamment l’intégration fiscale, constitue aussi un terrain privilégié. Elle permet de mêler logique juridique et mécanismes fiscaux avancés. Enfin, les questions de pouvoirs et de gouvernance au sein des sociétés (SAS/SA en particulier) restent des classiques qui tombent dès que le jury souhaite évaluer la maîtrise fine des acteurs de la vie sociale.

Le type de sujet le plus probable est donc un dossier transversal mêlant transformation de société, impacts fiscaux et conséquences sociales ou contractuelles. La clé de la réussite réside dans la capacité à articuler chaque volet avec précision et méthode.

Pronostics UE2 — Finance

L’épreuve de finance suit une logique stable : elle évalue la capacité du candidat à résoudre un problème financier complet, à justifier ses choix et à interpréter ses résultats. Les indispensables sont l’évaluation d’entreprise, le coût du capital, les arbitrages investissement/financement et la structure financière optimale.

L’un des thèmes les plus probables pour 2026 est l’évaluation au sens large : DCF, EVA, analyse par les multiples, voire une comparaison de méthodes. Ces sujets sont très appréciés car ils permettent au jury de tester à la fois la technicité et la capacité d’analyse. Le coût du capital, notamment en situation de risque, revient régulièrement et constitue un complément naturel.

La politique financière et les arbitrages stratégiques (dividendes, financement par dette vs capitaux propres, gestion du risque, structure optimale) sont également de bons candidats, surtout dans un contexte économique où la volatilité des marchés pousse à intégrer davantage d’analyses qualitatives.

Un dossier combinant évaluation, décisions d’investissement et réflexion stratégique sur la structure financière semble particulièrement cohérent pour 2026.

Pronostics UE3 — Management et contrôle de gestion

L’UE3 est l’épreuve de la cohérence stratégique. Le jury aime les sujets qui relient la théorie à la pratique à travers une vision globale de l’entreprise : performance, pilotage, management, indicateurs et alignement stratégique.

Les thèmes qui reviennent presque systématiquement sont la performance globale, la conduite du changement et les indicateurs de pilotage. Le DSCG adore les dossiers où l’on demande au candidat d’analyser une organisation, de diagnostiquer ses forces et faiblesses, puis de proposer un pilotage adapté. C’est un terrain idéal pour mêler management, stratégie et contrôle de gestion.

Pour 2026, il est très probable que le jury propose un dossier transversal impliquant la mise en place d’un système de pilotage, des tableaux de bord ou une analyse d’écarts dans un contexte stratégique précis. Les enjeux RSE, la transformation digitale et les nouvelles formes d’organisation du travail sont également de bons candidats, car ils permettent d’évaluer la capacité du candidat à intégrer des problématiques contemporaines.

Ceux qui réussiront seront ceux qui maîtrisent l’analyse structurée : problématique → diagnostic → justification → recommandations.

Pronostics UE4 — Comptabilité et audit

L’UE4 est l’épreuve reine du DSCG pour les aspects techniques : consolidation, IFRS et audit. Les tendances des dernières sessions montrent une alternance entre dossiers IFRS et dossiers de consolidation avec variation de périmètre.

Les regroupements d’entreprises, notamment la consolidation avec changements de périmètre, ajustements sur goodwill, éliminations intragroupe et retraitements IFRS, constituent un thème très probable pour 2026. Le jury apprécie particulièrement les sujets où l’on doit passer des écritures tout en expliquant la logique comptable sous-jacente.

Les normes IFRS structurantes comme IFRS 16, IFRS 9, et IFRS 15 restent des valeurs sûres. Elles permettent de proposer des cas pédagogiques, techniques mais accessibles aux candidats bien préparés.

En audit, les thèmes classiques comme l’analyse des risques, la certification des comptes, le contrôle interne ou la mission du commissaire aux comptes peuvent apparaître sous forme de questions isolées. Le jury utilise souvent l’audit comme une seconde couche d’analyse dans un dossier comptable.

Un sujet combinant consolidation, IFRS et audit paraît particulièrement plausible, car il reflète parfaitement la réalité du métier.

Pronostics UE5 — Management des systèmes d’information

L’UE5 est l’une des épreuves les plus stratégiques du DSCG, car elle se situe à la croisée du management, de l’organisation et de la technologie. Le jury cherche avant tout à évaluer ta capacité à comprendre comment un système d’information soutient la performance d’une entreprise, sécurise ses opérations et accompagne sa transformation.

Les thèmes incontournables restent la gouvernance des SI, l’architecture du système d’information, la sécurité informatique et la gestion de projet. Ces quatre blocs structurent l’ensemble du programme et reviennent régulièrement sous des formes différentes. Ils constituent la base sur laquelle reposent la plupart des mises en situation.

Pour 2026, les sujets les plus probables concernent les enjeux de cybersécurité, la cartographie ou l’amélioration d’un processus, la transformation digitale d’un service, ou encore la modernisation d’un système existant. Le jury apprécie particulièrement les cas où l’on demande de diagnostiquer un dysfonctionnement, d’évaluer les risques, et de proposer une solution cohérente à la fois technique et organisationnelle.

La compréhension du rôle de la donnée (qualité, gouvernance, circulation, intégrité) occupe aussi une place croissante dans les sujets récents. Le DSCG s’aligne de plus en plus sur les enjeux réels des entreprises : digitalisation, automatisation, cybersécurité et pilotage par la donnée.

Les candidats qui réussissent en UE5 sont ceux qui répondent de manière structurée, en reliant systématiquement enjeux, risques, solutions et impacts organisationnels.

Pronostics UE6 — Épreuve orale d’économie (selon les sessions)

Lorsque l’UE6 est maintenue ou intégrée sous forme d’épreuve orale, elle évalue la capacité du candidat à analyser un enjeu économique contemporain et à construire un discours structuré. Contrairement aux matières techniques, il n’y a pas de calculs ou de normes ; le travail repose essentiellement sur l’analyse, la lecture de l’actualité et la clarté d’expression.

Les sujets probables pour 2026 tournent autour des grandes thématiques qui transforment l’économie mondiale : la transition numérique, les transitions écologiques, les politiques monétaires dans un contexte d’incertitude, les tensions géopolitiques, les mutations du marché du travail ou encore les nouvelles formes de compétitivité internationale.

L’objectif du jury n’est pas de vérifier des connaissances encyclopédiques, mais d’évaluer ta capacité à problématiser un sujet, à proposer un raisonnement articulé et à illustrer tes propos par des exemples pertinents. La maîtrise du plan et la qualité de l’argumentation font souvent la différence.

UE7 — Mémoire professionnel

L’UE7 n’est pas un examen classique puisque son sujet dépend de ton expérience professionnelle. Pourtant, le jury suit toujours les mêmes critères, ce qui permet d’en faire une lecture “pronostique” en termes de réussite mais moi, je peux t’expliquer comment performer !

Ce qui est attendu en 2026 est identique aux années précédentes : une problématique claire, un terrain professionnel cohérent avec la filière, une analyse approfondie et des recommandations argumentées. Le mémoire est une épreuve où la méthode compte autant que le contenu.

La tendance actuelle du jury est de valoriser les mémoires qui montrent une véritable compréhension des enjeux de transformation auxquels les organisations sont confrontées : digitalisation, automatisation, contrôle interne, RSE, optimisation des processus, gestion du risque, performance globale.

Un bon mémoire pour 2026 sera donc :
– concret, avec un terrain bien défini ;
– analytique, avec un vrai travail d’observation ;
– structuré, avec une progression logique ;
– utile, avec des recommandations applicables.

La soutenance joue un rôle important : clarté, confiance, structure et capacité à défendre ses choix sont déterminantes pour obtenir une bonne note.

Alors le pronostic du DSCG 2026 ?

Préparer le DSCG 2026, ce n’est pas tenter de prédire un sujet précis : c’est comprendre la logique de l’examen, identifier les thèmes structurants et développer une méthode de travail capable de résister à n’importe quel dossier. Les jurys attendent des candidats qu’ils maîtrisent les fondamentaux, argumentent avec rigueur, analysent les documents avec discernement et justifient chaque étape de leur raisonnement.

En t’appuyant sur ces pronostics, tu peux hiérarchiser intelligemment ton travail : renforcer les blocs incontournables, approfondir les thèmes probables, t’entraîner sur des dossiers transversaux et développer une rédaction claire et professionnelle. C’est cette stratégie, bien plus que la mémorisation brute, qui te permettra d’obtenir une note solide et régulière sur l’ensemble des UE.

Si tu veux aller plus loin, j’ai justement préparé des fiches de révision conçues pour le DSCG, pensées pour te faire gagner du temps : synthèses claires, schémas, raisonnements types, méthodes de résolution et points clés à maîtriser absolument.

Elles complètent parfaitement ce pronostic et t’aident à transformer chaque heure de révision en progrès concret.

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